Modibo Keïta en quête de l’unité africaine (5&6)
Premier président de la République du Mali, Modibo Keita était un fervent partisan du panafricanisme. L’unité africaine passait même avant la souveraineté de son propre pays.
Premier président de la République du Mali, Modibo Keita était un fervent partisan du panafricanisme. L’unité africaine passait même avant la souveraineté de son propre pays.
Premier président de la République du Mali, Modibo Keita était un fervent partisan du panafricanisme. L’unité africaine passait même avant la souveraineté de son propre pays.
Premier président de la République du Mali, Modibo Keita était un fervent partisan du panafricanisme. L’unité africaine passait même avant la souveraineté de son propre pays.
Premier président de la République du Mali, Modibo Keita était un fervent partisan du panafricanisme. L’unité africaine passait même avant la souveraineté de son propre pays.
« Ceux qui sont morts ne sont jamais partis. Ils sont dans l’ombre qui s’éclaire et dans l’ombre qui s’épaissit. Les morts ne sont pas sous la terre. Ils sont dans l’arbre qui frémit, ils sont dans le bois qui gémit, ils sont dans l’eau qui coule, ils sont dans l’eau qui dort, ils sont dans la cave, ils sont dans la foule. Les morts ne sont pas morts. » Ces vers, tirés de « Les souffles », un des poèmes les plus célèbres du continent africain, sont ceux de l’écrivain sénégalais Birago Diop.
« Ceux qui sont morts ne sont jamais partis. Ils sont dans l’ombre qui s’éclaire et dans l’ombre qui s’épaissit. Les morts ne sont pas sous la terre. Ils sont dans l’arbre qui frémit, ils sont dans le bois qui gémit, ils sont dans l’eau qui coule, ils sont dans l’eau qui dort, ils sont dans la cave, ils sont dans la foule. Les morts ne sont pas morts. » Ces vers, tirés de « Les souffles », un des poèmes les plus célèbres du continent africain, sont ceux de l’écrivain sénégalais Birago Diop.
« Ceux qui sont morts ne sont jamais partis. Ils sont dans l’ombre qui s’éclaire et dans l’ombre qui s’épaissit. Les morts ne sont pas sous la terre. Ils sont dans l’arbre qui frémit, ils sont dans le bois qui gémit, ils sont dans l’eau qui coule, ils sont dans l’eau qui dort, ils sont dans la cave, ils sont dans la foule. Les morts ne sont pas morts. » Ces vers, tirés de « Les souffles », un des poèmes les plus célèbres du continent africain, sont ceux de l’écrivain sénégalais Birago Diop.
Une silhouette élancée et un visage assombri par une barbe à la Castro, Odumegwu Emeka Ojukwu proclame l’indépendance du Biafra le 30 mai 1967. Une décision qui va le faire connaître du monde entier, mais à quel prix ?
Une silhouette élancée et un visage assombri par une barbe à la Castro, Odumegwu Emeka Ojukwu proclame l’indépendance du Biafra le 30 mai 1967. Une décision qui va le faire connaître du monde entier, mais à quel prix ?
Une silhouette élancée et un visage assombri par une barbe à la Castro, Odumegwu Emeka Ojukwu proclame l’indépendance du Biafra le 30 mai 1967. Une décision qui va le faire connaître du monde entier, mais à quel prix ?
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