La chute d’André Kolingba (5&6)
Souvent présenté comme un homme discret, André Kolingba prend la tête en 1981 de la République Centrafricaine, suite à ce que la presse d’alors appelle «un pseudo coup d’Etat» qui renverse le président David Dacko.
"Nul n'a le droit d'effacer une page de l'histoire d'un peuple car un peuple sans histoire est un monde sans âme." Alain FOKA
Afrique Centrale
André Kolingba face à Bokassa (3&4)
Souvent présenté comme un homme discret, André Kolingba prend la tête en 1981 de la République Centrafricaine, suite à ce que la presse d’alors appelle «un pseudo coup d’Etat» qui renverse le président David Dacko.
André Kolingba, le simulacre d’un putsch (1&2)
Souvent présenté comme un homme discret, André Kolingba prend la tête en 1981 de la République Centrafricaine, suite à ce que la presse d’alors appelle «un pseudo coup d’Etat» qui renverse le président David Dacko.
André Kolingba
Souvent présenté comme un homme discret, André Kolingba prend la tête en 1981 de la République Centrafricaine, suite à ce que la presse d’alors appelle «un pseudo coup d’Etat» qui renverse le président David Dacko.
Au Gabon, Omar Bongo tout-puissant? (13&14)
Le président gabonais Omar Bongo reçoit son homologue français Jacques Chirac le 16 juillet 1996.
Omar Bongo, président d’un Gabon en zone de turbulence (11&12)
Des manifestants défilent dans les rues de Port-Gentil, le 26 mai 1990, en scandant des slogans hostiles au président gabonais, Omar Bongo.
Omar Bongo face au vent de la démocratie (9&10)
président français François Mitterrand (D) s’entretenant avec son homologue gabonais Omar Bongo à bord du train « transgabonais ». AFP
Omar Bongo, «l’argentier» de la Françafrique (7&8)
Palais de l’Élysée. Le président gabonais, Omar Bongo (c) et le président zaïrois, Mobutu Sese Seko
Omar Bongo, pilier de l’Afrique (5&6)
Entretien entre Omar Bongo et son homologue français, Giscard d’Estaing à l’Élysée, le 4 novembre 1977. Présidence du Gabon
